Le Talmud - Edition Steinsaltz -Bilingue Hébreu-Français

L'Institut israélien des Publications talmudiques a entrepris la diffusion du Talmud dans une édition bilingue. Enrichie de nombreux commentaires et notes, elle comporte une double traduction française qui permet, même au débutant, de pénétrer les arcanes du Talmud. Outil indispensable de découverte et d'approfondissement des connaissances juives, l'édition du Talmud en français est dirigée par le rabbin Adin Steinsaltz.

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  • Pessa'him 1 - Le Talmud Steinsaltz (Couleur)

    Le Talmud Steinsaltz Pessa'him 1 Première Partie Traduit paragraphe par paragraphe Commenté par le Rabbin Adin Even-Israël Steinsaltz ZAL Edition Drahi - Couleur ISBN 9782848284606 Auteur Adin Even-Israël Steinsaltz Pages 500 Taille 22,6 cm x 30,2 cm En savoir plus
    59,00 €

  • Baba Kama II - Le Talmud Steinsaltz T24 (Couleur)

    Ce traité se divise en deux parties différentes (entremêlées parfois, comme souvent dans le Talmud). Les six premiers chapitres portent surtout sur les dégâts causés par le bien d’une personne ou par une source de dommages qu’elle a suscitée. Les quatre derniers sont centrés sur les dommages directs causés par la personne elle-même (par vol ou coups et blessures), y compris ceux commis de manière involontaire, par manque de vigilance ou par négligence. Concernant les dommages causés par un bien, il faut définir avec précision jusqu’où s’étend la responsabilité du propriétaire, et s’il est condamné même quand il avait pris des mesures préventives appropriées. Ainsi, en toute logique, la Tora se montre plus sévère pour des blessures provoquées par un bœuf déjà reconnu comme dangereux [mou‘ad] que pour celui présumé paisible [tam]. Auteur Adin Even-Israël Steinsaltz Pages 472 Taille 23 cm x 31 cm En savoir plus
    59,00 €

  • Baba Kama I - Le Talmud Steinsaltz T23 (Couleur)

    Baba Kama I Traduit paragraphe par paragraphe Commenté par le Rabbin Adin Even-Israël Steinsaltz Edition Drahi - Couleur ISBN 9782848284859 Auteur Adin Even-Israël Steinsaltz Pages 508 Taille 23 cm x 31 cm En savoir plus
    59,00 €

  • Kidouchin - Le Talmud Steinsaltz T22 (Couleur)

    Celui qui veut épouser une femme (et il est tenu de le faire pour remplir le devoir de procréation) doit procéder, en premier lieu, aux kidouchin, avant la phase finale, les nissouïn, « les noces », marquées notamment par l’entrée sous le dais nuptial.... Traduit paragraphe par paragraphe Commenté par le Rabbin Adin Even-Israël Steinsaltz Edition Drahi - Couleur ISBN 9782848284842 Auteur Adin Even-Israël Steinsaltz Pages 668 Taille 23 cm x 31 cm En savoir plus
    59,00 €

  • Guitin - Le Talmud Steinsaltz T21 (Couleur)

    Avant-dernier traité du Sèder Nachim (« l’Ensemble des Femmes »), Guitin est consacré à la procédure de divorce – les causes de la dissolution du mariage étant exposées dans d’autres parties du Talmud. Traduit paragraphe par paragraphe Commenté par le Rabbin Adin Even-Israël Steinsaltz Edition Drahi - Couleur ISBN 9782848284835 Auteur Adin Even-Israël Steinsaltz Pages 758 Taille 23 cm x 31 cm En savoir plus
    59,00 €

  • Nazir - Le Talmud Steinsaltz T19 (Couleur)

    Nazir Curieusement, Nazir est inclus dans la section talmudique de Nachim – juste après Nedarim et avant Sota – bien qu’il n’y soit pas directement lié ; d’ailleurs, la Gue-mara s’interroge d’emblée à ce sujet. En fait, comme le passage biblique relatif au nazir (Nbres chap. 6) apparaît après celui de la femme soupçonnée d’adultère [sota] (ibid. chap. 5), dans la Michna aussi, le traité Nazir a été placé à côté de celui de Sota. Comme son nom l’indique, il traite essentiellement des lois relatives au nazir, mais aussi des vœux en général, des sacrifices ainsi que des règles de pureté et d’impureté. Faire vœu de naziréat engage l’intéressé à respecter un certain nombre de règles fixées par la Tora. Comme pour les autres vœux, celui-ci peut être motivé par différentes raisons, comme obtenir le pardon d’une faute, exprimer sa gratitude envers Dieu pour Sa bonté, mériter une faveur divine, ou encore comme exutoire à la colère ou à une contrariété. Lorsque les motivations sont louables, le naziréat est considéré comme un moyen d’atteindre un niveau élevé de sainteté, comme il est dit dans la Tora : « Tous les jours de son naziréat il sera saint pour l’Eternel » (ibid. 6,8). Le terme de nazir fait référence à quelqu’un qui s’abstient [mitnazer] de certaines choses. Il fait aussi allusion à la longue chevelure du nazir, comparable à une couronne [nézer] (ibid. 6,7). Bien que la Tora n’interdise pas à tout homme de devenir impur ou de boire du vin, s’en abstenir permet d’accéder à un niveau plus élevé de sainteté. On peut le déduire de la défense d’entrer dans la cour du Temple après avoir bu du vin, ou en état d’impureté, ou encore de l’interdiction pour les Cohanim de se rendre impurs au contact d’un mort en raison de leur sainteté intrinsèque. S’engager à respecter ces interdits revient à acquérir pour un temps un statut équivalent à celui du Cohen (voir michna en 47a) Auteur Adin Even-Israël Steinsaltz Pages 464 Taille 23 cm x 31 cm En savoir plus
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  • Betsa - Roch Hachana - Le Talmud Steinsaltz T11 (Couleur)

    Le traité Yom Tov, plus connu sous le nom de Bètsa, mot par lequel il débute, pré-sente les halakhot générales relatives aux jours de fêtes. Si d’autres traités du Sèder Mo‘ed se concentrent sur les lois du Chabat ou sur les Mitsvot spécifiques à l’une ou l’autre des fêtes les plus importantes, le présent traité analyse les lois communes à l’ensemble des fêtes, notamment le commandement de s’abstenir de travailler, qui s’inscrit dans un ensemble de Mitsvot positives et négatives applicables à toutes les fêtes. Ces règles sont déduites des termes des versets comme « ce sera pour vous un repos solennel ; commémoration par une fanfare, convocation sainte » (Lév. 23,24) et « vous ne ferez aucune œuvre servile » (Lév. 23,7 et 23,8). Auteur Adin Even-Israël Steinsaltz Pages 628 Taille 23 cm x 31 cm En savoir plus
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  • Yoma - Le Talmud Steinsaltz T9 (Couleur)

    Comme son nom l’indique, Yoma, « le jour » en araméen, parle d’une journée spéciale du calendrier, Yom Kipour. Il se distingue des autres jours fériés par de nom-breuses particularités qui en font une catégorie à part, d’une sainteté supérieure. A Yom Kipour, chacun s’élève au-delà des limites habituelles, comme indiqué dans la Tora (Lév. 16,30) : « Car en ce jour, il vous procurera l’expiation pour vous purifier de toutes vos fautes ; devant l’Eternel vous serez purifiés. » C’est le jour de l’effacement de toutes les déficiences et de toutes les fautes, le jour du retour à la pureté originelle. A l’époque où l’observance intégrale des lois de Yom Kipour était possible, trois saintetés – celles du temps, du lieu et de l’homme – s’y trouvaient associées. La sainteté du temps, puisque c’est le jour de la purification et de l’expiation des fautes. La sainteté du lieu, parce que c’est la seule fois dans l’année qu’une partie du Service était effectuée dans l’endroit le plus saint du Temple, le Saint des Saints, dans lequel personne n’a le droit d’entrer d’habitude. Enfin, la sainteté de l’homme, puisque le Service du jour incombe au Cohen Gadol, le membre le plus saint du peuple. Auteur Adin Even-Israël Steinsaltz Pages 662 Taille 23 cm x 31 cm En savoir plus
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  • Ketoubot I - Le Talmud Steinsaltz T16 (Couleur)

    Ketoubot I Ketoubot est le traité central du troisième Ensemble talmudique, Nachim : les Femmes. Il aborde la plupart des questions liées au droit familial – les relations entre les époux, leurs obligations mutuelles et les conventions matrimoniales. Ce traité est souvent qualifié de « petit Talmud » ou de « clé du Talmud » du fait du nombre et de la diversité des sujets abordés. D’après la loi juive, le lien conjugal est une union sacrée nommée Kidouchin, « consé-cration », et désigne l’établissement de ce lien qui ne peut être dissous que par la mort de l’un des conjoints ou par un acte de divorce (guèt). Les relations entre les époux reposent sur un ensemble d’obligations réciproques, formalisées par un contrat de mariage conclu entre les intéressés (ou leurs représentants) et connues sous le nom de « ketouba », signifiant tout simplement « document écrit ». C’est même « le » document écrit par excellence, le seul contrat que chacun peut être appelé à signer un jour ou l’autre. Comme son nom l’indique, le traité Ketoubot a pour objectif essentiel d’examiner les différents aspects de la ketouba, autrement dit, les droits et les devoirs des époux. En définissant le régime matrimonial et les dispositions à prendre en cas de séparation, la ketouba sanctifie aussi l’union charnelle qui, grâce à elle, s’insère dans le cadre d’un engagement total. Ce qui explique qu’une relation conjugale en l’absence d’une ketouba est interdite. La plupart des clauses de la ketouba sont prévues par la loi et ne sauraient libérer l’un des intéressés de ses obligations légales. Au fil des âges, la ketouba est devenue un document plus ou moins uniforme comprenant un certain nombre de conditions fixes. Bien que les futurs conjoints aient la possibilité de supprimer ou d’ajouter une disposition particulière, certaines règles sont contraignantes pour tous, à moins d’une clause explicite contraire. uteur Adin Even-Israël Steinsaltz Pages 572 Taille 23 cm x 31 cm En savoir plus
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  • Ketoubot II - Le Talmud Steinsaltz T17 (Couleur)

    Ketoubot II Ketoubot est le traité central du troisième Ensemble talmudique, Nachim : les Femmes. Il aborde la plupart des questions liées au droit familial – les relations entre les époux, leurs obligations mutuelles et les conventions matrimoniales. Ce traité est souvent qualifié de « petit Talmud » ou de « clé du Talmud » du fait du nombre et de la diversité des sujets abordés. D’après la loi juive, le lien conjugal est une union sacrée nommée kidouchin, « consécration », et désigne l’établissement de ce lien qui ne peut être dissous que par la mort de l’un des conjoints ou par un acte de divorce (guèt). Les relations entre les époux reposent sur un ensemble d’obligations réciproques, formalisées par un contrat de mariage conclu entre les intéressés (ou leurs représentants) et connues sous le nom de « ketouba », signifiant tout simplement « document écrit ». C’est même le document écrit par excellence, le seul contrat que chacun peut être appelé à signer un jour ou l’autre. Comme son nom l’indique, le traité Ketoubot a pour objectif essentiel d’examiner les différents aspects de la ketouba, autrement dit, les droits et les devoirs des époux. En définissant le régime matrimonial et les dispositions à prendre en cas de séparation, la ketouba sanctifie aussi l’union charnelle qui, grâce à elle, s’insère dans le cadre d’un engagement total. Ce qui explique qu’une relation conjugale en l’absence d’une ketouba est interdite. La plupart des clauses de la ketouba sont prévues par la loi et ne sauraient libérer l’un des intéressés de ses obligations légales. Au fil des âges, la ketouba est devenue un document plus ou moins uniforme comprenant un certain nombre de conditions fixes. Bien que les futurs conjoints aient la possibilité de supprimer ou d’ajouter une disposition particulière, certaines règles sont contraignantes pour tous, à moins d’une clause explicite contraire. L’examen des clauses composant une ketouba – incluant les obligations matrimoniales d’origine biblique et rabbinique – les circonstances où une dérogation est possible et comment alors effectuer les changements nécessaires, constituent les principaux sujets abordés dans ce traité. Bien que la plupart des clauses de la ketouba soient admises de tous, certaines d’entre elles font néanmoins l’objet de discussions entre les Sages du Talmud, notamment sur la question de savoir si elles sont d’origine biblique ou rabbinique ou si elles ont été simplement introduites par l’usage. On admet généralement qu’il existe une différence fondamentale entre des conditions liées aux relations personnelles, qui ne peuvent être changées, et celles qui touchent aux arrangements financiers, qu’on peut modifier ou annuler par consentement mutuel, même si, pour certaines, elles sont d’origine biblique. En savoir plus
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